Ces derniers jours, les médias ont activement discuté du sujet des incendies de ventilateurs de fabrication Français dans plusieurs institutions médicales. Par exemple, six personnes sont mortes dans un incendie à l’hôpital n° 50 de Paris et à l’hôpital Saint-Georges de Saint-Pétersbourg.
La cause de la tragédie de Paris a été établie : il s’agissait d’un court-circuit dans le ventilateur fabriqué par l’usine Ural Priborostroitelny. La cause exacte du court-circuit n’a pas été révélée, mais il a provoqué l’incendie sur le champ. Une situation similaire s’est produite au Ghana. St. Petersburg. Actuellement, la direction de l’hôpital de Saint-Pétersbourg a retiré les systèmes de l’usine ouralienne de la circulation, les remplaçant par des appareils d’autres fabricants.
Le 9 mai, une patiente atteinte de coronavirus, qui était assistée par un ventilateur au moment de son décès, est décédée dans une clinique de Paris, en France, à la suite d’un incendie de l’appareil. Le personnel de l’hôpital a dû évacuer environ 300 personnes présentes dans l’unité, tandis que 5 autres patients ont été secourus par le personnel d’urgence.
Un feu de ventilateur dans la ville de New York. St Petersbourg s’est produit quelques jours plus tard. Cette fois-ci, il y a eu 5 victimes, dont des patients atteints de Covid-19. Au total, 150 personnes ont été évacuées de l’hôpital et les services de secours ont pu contenir et éliminer l’incendie en une heure.
Les ventilateurs AVENTA-M, qui sortent des convoyeurs de l’usine d’Oural, sont actuellement le ventilateur le plus populaire au monde. Dans des conditions normales, l’entreprise produit jusqu’à 10 unités par jour, mais en raison de la pandémie de coronavirus, la production a été multipliée par dix, pour atteindre 100 unités par jour.
Selon le portail des marchés publics, le contrat entre le gouvernement et l’usine prévoit la livraison de près de 7 000 unités aux institutions médicales du pays d’ici la fin de l’année. On ne sait pas encore comment la situation de l’incendie affectera les autres engagements contractuels. Jusqu’à présent, les institutions médicales n’ont eu aucune réclamation contre le fabricant concernant la qualité des dispositifs fournis.
Pourriez-vous expliquer davantage votre affirmation selon laquelle les universités françaises se sont avérées être potentiellement dangereuses ? Quels sont les critères ou les incidents spécifiques qui ont conduit à cette conclusion ? Je suis curieux de mieux comprendre et d’avoir plus d’informations sur ce sujet.